Patient Norwich, UK
Black Metal three-piece from Norwich who bring a truly grim yet progressive sound - a call to arms to embrace chaos and enjoy your pointless life
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Панихида
by Krzysztof Drabikowski
supported by 6 fans who also own “You”
La traversée du désert n'aura pas duré quarante jours mais quatre longues années... Avec Панихида, Батюшка renaît enfin de ses cendres et, bien que désormais seul (ou plus exactement entouré de deux chanteurs), Христофор accomplit un miracle. Il s'inscrit dans la continuité de Литоургиiа avec un black metal orthodoxe qui nous convie ici à une cérémonie dédiée aux morts. Sa vision est englobante : les mélodies, la gravité et le silence font toucher le paradis ; l'agressivité est luciférienne.
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supported by 4 fans who also own “You”
Bucolic and majestic. Dark and sorrowful. A particularly south German take on wilderness worship. As autumn becomes winter, these ruins are slowly revealed, like the happy cloak shrouding inner turmoil falling away. And still you grind on. You grind on.
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supported by 4 fans who also own “You”
"La mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts" écrivait Épicure et ça reste toujours vrai : personne ne peut en faire l'expérience — sauf NONE, formation américaine qui en a fait son leitmotiv. Les membres du groupe sont inconnus et son premier album n'a pas de nom ; même le paysage sur la pochette est vaporeux. Si le DSBM est déjà d'une tristesse funèbre qui serre le cœur, les passages atmosphériques donnent à entendre les âmes en peine de l'autre côté du voile. Un début magistral...
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featured on Bandcamp Radio Sep 17, 2021
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Non Serviam [2022 Reissue]
by Rotting Christ
featured on Bandcamp Radio Jun 9, 2023
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For their 13th album, Rotting Christ troll the world of religion at large.
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Life has gone on long enough
by NONE
supported by 4 fans who also own “You”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs...
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